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In caso di nebbia
Matt Coco
Vernissage, samedi 7 octobre à 18h
Exposition du 10 octobre au 30 décembre 2017
En Résonance avec la Biennale de Lyon 2017
Les œuvres de Matt Coco partent d’une image ou d’une forme, trouvée ou issue de l’actualité et ensuite décortiquée, transfigurée sans cesse. En ressortent des volumes en devenir, des sculptures qui proposent un enchaînement séquentiel, des dessins qui se forcent de tracer ce que l’œil ne voit pas ou encore des installations qui sont une perpétuelle mise en abime de l’élément-source qui les a inspirées.
Pour la Halle, l’artiste crée un paysage imaginé, presque onirique, à la fois matériel et aérien. Ce projet présente des œuvres nouvelles qui cristallisent des éléments naturels (eau, bois, nuages…) ou manufacturés (ruban adhésif, supports en métal, tissu, silicone…) tout en laissant transparaitre le geste créateur d’une manière discrète mais visible - comme une trace à trouver et à suivre. Chaque œuvre est paradoxalement une forme finie et aussi une transformation en image, son ou volume à activer et en évolution perpétuelle. La proposition de l’artiste est transversale : les œuvres montrées seront des pièces à lire par tout et chacun, c’est-à-dire à interpréter à travers la danse, le regard, la parole…
Autour de l'expo :
Le soir du vernissage
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Prosodie
Performance avec Benoît Caussé, danseur
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Les ateliers de la création
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Le secret du placard de verre
Nathalie Muchamad et Johan Sordelet
à Espace Projet, Montréal
dans le cadre du projet Regards outre atlantiques.
Résidence : 22 septembre au 13 octobre 2017
Exposition : 18 octobre au 18 novembre 2017
Vernissage et rencontre avec les artistes :
samedi le 21 octobre 15h
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En France :
Mathieu Grenier et Jean-Philippe Luckhurst-Cartier seront en immersion dans le Vercors pendant un mois, ils découvriront un environnement qu’ils ne connaissent pas, son histoire et ses actualités. Leurs recherches seront effectuées avec la fraicheur d’un regard novice et curieux et les œuvres produites porteront les habitants à voir autrement leur environnement quotidien.
La table ronde est organisée en partenariat avec Textes en l’air.
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Ce projet est rendu possible grâce aux Fonds Franco-Québécois pour la Coopération Décentralisée et, en France, avec la complicité de Saint-Marcellin-Vercors-Isère Communauté.
Au Québec :
Les artistes français, Nathalie Muchamad et Johan Sordelet, travailleront à l’automne sur les mêmes problématiques et dans les mêmes conditions à Montréal.
Autour de l’expo : table ronde
Mardi 27 juin à 18h
Avec les artistes, Nathalie Muchamad et Johan Sordelet, Mathieu Grenier et Jean-Philippe Luckhurst-Cartier, les commissaires, Catherine Barnabé et Giulia Turati, et Suzie Bastien, auteure.
Pour approfondir les sujets de l’expo, pour mieux connaitre les pratiques des artistes, les recherches effectuées et le processus créatif à l’œuvre dans ce contexte. Suzie Bastien, auteure invitée par Textes en l’air, en résidence d’écriture sur le territoire participera à la discussion.
Avant l’expo : open studio
Permanences des artistes à la Halle :
Mercredis 7 et 14 juin
& Samedis 3 et 17 juin
de 16h30 à 18h
Découvrez l’atelier aux portes ouvertes installé dans les salles d’exposition, rencontrez les artistes et suivez la création en cours...
La forteresse ouverte
Mathieu Grenier
Jean-Philippe Luckhurst-Cartier
Vernissage samedi 24 juin à 18h
Exposition du 27 juin au 2 septembre 2017
Dans le cadre de la Biennale de Nord en Sud
Pour leur premier projet artistique d’envergure en France, les artistes québécois Mathieu Grenier et Jean-Philippe Luckhurst-Cartier ont créé des œuvres inédites après une résidence de création d’un mois où ils ont été en immersion à Pont-en-Royans et dans le Vercors. Répondant à l’invitation faite dans le cadre de la Biennale de nord en sud 2017, les artistes ont posé leur regard sur ce territoire qui -par sa nature minérale- enferme et protège mais qui, depuis les temps anciens, est un carrefour de peuples et cultures.
La forteresse ouverte est un titre évocateur. Si au premier regard il peut sembler explicite, il est au contraire chargé de sens et de symboles. Forteresse ouverte (de Michel Wullschleger) est aussi un ouvrage-balise qui a guidé les artistes dans leur pèlerinage vertacomicorien et a nourri la réflexion autour de ce territoire abrupt et pourtant perméable, son histoire et le mythe créé autour de ces montages.
Travaillant pour la première fois en binôme, Mathieu Grenier et Jean-Philippe Luckhurst-Cartier ont créé une installation dans l’ensemble des salles du centre d’art qui prend la forme d’un parcours dans un fort souterrain. Les œuvres sont à la fois références et détournement des clichés de ce paysage montagnard fantasmé mais aussi l’évocation - par ces même signes- d’une image plus mentale et subtile de ces lieux.
Regards outre atlantiques
Projet artistique franco-québécois
Initié par deux centres d’art contemporain, La Halle (Pont-en-Royans) et Espace Projet (Montréal), le projet se structure selon un rythme triphasé dans les deux pays : une résidence de création et un atelier aux portes ouvertes précèderont l’ouverture de l’exposition in situ.
En résidence, les artistes-visiteurs s’imprègneront de ce nouvel environnement et contexte afin de nourrir leurs productions visuelles. Durant cette même période, les salles d’exposition se transformeront en atelier aux portes ouvertes : elles deviendront des espaces de travail mais aussi des lieux de rencontre et d’échange. Les artistes pourront inviter leurs interlocuteurs et créer dans ce lieu « en devenir ».
Soleil Noir
Thibault Brunet
Vernissage, samedi 8 avril à 18h
Exposition du 11 avril au 27 mai 2017
Photographe, Thibault Brunet capte une réalité numérique à la fois factuelle et immatérielle. Son travail joue avec les genres et les archétypes de la photographie et se concentre sur la relation avec la virtualité dans une société où le réel dans son ensemble est numérisé. Ses œuvres sont à la fois un miroir très réaliste du monde contemporain et des images d'une dimension parallèle, fictive et digitale. La réflexion sur les techniques, les modes de consommation et production des images surgit ainsi que les questionnements sur nos traces dans le net, les identités fluides et nos avatars.
Entre l'empirique et le virtuel, l’exposition propose au visiteur une déambulation immersive dans des paysages mesurés qui sont aussi bien les reproductions fidèles des sites choisis que leur interprétation illusoire.
Autour de l’expo :
Mardi 9 mai à 18h
&
Vendredi 26 mai à 18h
Visites commentées en compagnie de la responsable du centre d’art.
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Lancement du dernier numéro d’Idoine.
Présentation de la revue
et performance
d'Antonin Giroud-Delorme
29 mars 2017 à 18h
La Halle vous invite à découvrir le dernier numéro du magazine d’entretien apériodique Idoine à l’occasion d’une rencontre publique avec les auteurs Jérémy Glâtre (graphiste), Eléonore Pano-Zavaroni (artiste) et Pascale Riou (historienne de l'art et curatrice) et l’artiste invité, Antonin Giroud-Delorme.
> Plus d’infos sur la revue ici
Tous drois reservés
Eppur si muove
Exposition prolongée jusqu’au 18 mars 2017
Vernissage, samedi 14 janvier à 18h
L’exposition collective qui ouvre la programmation artistique 2017 se construit autour d’une tension au premier abord dichotomique : l’homme et l’univers, l’absolument grand et infini et l’extrêmement petit et proche. Le titre Eppur si muove [Et pourtant elle tourne] fait référence à la légendaire phrase que Galilée aurait dit sortant de son procès, après avoir nié ses découvertes face à l’inquisition. La figure du physicien – personnage aussi bien esthète que scientifique - permettra d’articuler le propos de l’exposition autour du regard porté vers les étoiles à la fois comme métaphore du progrès (aller au-delà de la science établie et de nos connaissances...) mais aussi dans une dimension plus contemplative, réflexive, intimiste.
Les œuvres choisies donnent à voir (et à entendre) des géométries impossibles (Marion Tampon-Lajarriette), un trompe-l’œil « chiffré » (Nikolas Fouré), un cosmos en devenir (Cécile Beau et Nicolas Montgermont), une vision de deuil (Marwan Moujaes), de la poussière d’étoile (Muriel Joya) ou encore un observatoire astronomique souterrain (Audrey Martin et Muriel Joya). Il s’agira donc de proposer aux visiteurs une ambiance entre l’observation et l’étonnement, à la fois lyrique et mathématique.
> En raison de son succès, l’exposition est prolongée jusqu’au 18 mars. Une petite surprise sera à découvrir dans l’accrochage à l’occasion de la visite commentée du mardi 7 mars à 18h.
Autour de l’exposition
Mercredi 8 février à la Halle
à 18h
Visite commentée de l’exposition avec la responsable du centre d’art
et Guy Brabant, astronome.
à 18h30
Conférence « Les défis de l'astronomie au XXI° siècle » par Guy Brabant
suivie d’un échange avec le public.
Samedi 25 février à partir de 15h
Double RDV patrimonial et contemporain sous le signe des étoiles.
Visitez la voûte céleste du Domaine de Saint Jean de Chépy (Tullins)
et l’exposition Eppur si muove à la Halle.
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2017
LA HALLE
Place de la Halle
38680 Pont-en-Royans
Tél : 04 76 36 05 26
Archives
des expositions et des activités du Centre d'art
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